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« Le chômeur est payé, le médecin, lui, est au chômage ! » Depuis le 16 octobre, en Algérie, le ras-le-bol des étudiants en médecine a évolué en une grève largement suivie. Des manifestations ont été organisées dans différentes facultés de médecine du pays, notamment à Alger, Oran, Constantine, Sétif et Annaba pour réclamer plus de postes de résidanat, l’homologation des diplômes (pour qu’ils soient reconnus à l’étranger), l’amélioration des conditions d’encadrement et de formation dans les centres hospitalo-universitaires (CHU) ou encore des garanties d’emplois après la formation. Sans oublier la fin du gel des homologations de diplômes, mesure décidée par les autorités pour freiner l’exode des médecins à l’étranger et considérée par les étudiants comme une atteinte à leur droit individuel.